Final Fantasy : Les créatures de l’esprit et Advent Children

Salut à tous les nains et toutes les naines. On se retrouve en ce jour de St valentin pour parler pas d’un, mais de deux films tout deux tirés du même univers : Final Fantasy.Alors nous allons commencez par les deux premiers opus avant de terminer par Kingsglaive sorti à l’occasion de la sortie de FF XV. Installez-vous confortablement et on se retrouve juste après les synopsis et les bandes annonces pour parler des Créatures de l’esprit et d’Advent Children.

Final Fantasy : Les créatures de l’esprit

Synopsis : En 2065, la plus grande confusion règne sur notre planète. Seuls les plus résistants des humains vivent encore dans un univers de désolation dominé par l’ennemi absolu : de mystérieux fantômes qui se nourrissent en extrayant l’énergie de toute forme de vie terrestre. Le futur de notre espèce repose sur le courage et la volonté de quelques-uns. Déjouant les complots, évitant les pièges, ils doivent reconquérir la Terre en usant de toutes les magies. Deux clans s’opposent sur la manière la plus efficace d’éliminer les spectres : les premiers, commandés par un général belliqueux, souhaitent utiliser une arme de destruction totale ; les autres, conduits par le docteur Aki Ross, s’engagent dans une voie difficile : la reconstitution d’un rythme spirituel qui devrait chasser les fantômes et protéger les êtres vivants. L’aventure est risquée, mais ils n’ont plus rien à perdre.

Bon que dire de ce film… et bien je vais être un peu radical, mais qu’est-ce que c’est long. Attention je ne dis pas que c’est mauvais, mais le problème viens du rythme du scénario qui arrive facilement à perdre le spectateur. La première fois que je l’ai vu il y a de cela plusieurs années je ne m’étais pas forcément rendu compte de ces longueurs, mais cette fois ça m’a littéralement sauté au yeux. Après l’histoire en elle même est intéressante et je vais le développer dans ce qui va suivre.

Scénario : Alors l’histoire en elle-même est pas trop mal. On suit une scientifique qui est persuadée qu’elle peut trouver une solution au problème planétaire des grosses bestioles fantomatiques. En fait je pense que le film parait long car on sait depuis le début ce qu’il va se passer et qu’il n’y a pas de surprise. Ce qui a fait que j’ai décroché assez rapidement. Je pense clairement que les scénaristes ont fait comme s’ils développaient un scénar de jeu vidéo avec lequel le joueur peut interagir alors que clairement non. C’est dommage, car c’est le gros point noir du film.

Réalisation : On va être direct c’est ce qui sauve le film. Bon c’est vrai que comparé à Advent Children et Kingsglaive c’est « moche », mais en replaçant dans le contexte de l’époque c’était révolutionnaire de voir des personnages animés aussi réalistes que ça. Le reste du design que ce soit au niveau des décors et des autres personnages est tout de même très beau. Les scènes d’action sont bien rythmées et donnent un peu de peps au film. Heureusement j’ai envie de dire.

Jeu d’acteur (doublage) : Je n’ai pas grand chose à dire à ce niveau. Le jeu n’est pas mauvais du tout et on arrive bien à ressentir ce que les persos vivent.

Musique : C’est pas mal. La bande originale nous plonge bien dans l’univers du film, malheureusement c’est loin d’être inoubliable comparé à la soundtrack d’advent children et de Kingsglaive. Mais ça j’y reviendrai plus tard.

Allez passons tout de suite au deuxième film de cette double critique.

Final Fantasy : Advent Children

Synopsis : Cloud Strife, ex-SOLDAT, décide de s’isoler de ses anciens compagnons pour lutter contre les souvenirs de son passé, seul. Cependant, quand il se fait attaquer par le gang de Kadaj, Loz, et Yazoo, qui recherchent leur « Mère » pour commencer leur « Réunion », Cloud va devoir plus que jamais affronter les souvenirs qui le tourmentent.

Alors que dire de ce film… à part que putain c’est beau et que c’est plaisant à regarder. Alors cette fois l’histoire est nettement plus rythmée que dans le précédent opus et croyez-moi vous ne décrochez pas un instant. Pareil celui-là je l’ai vu à sa sortie, mais c’est avec un immense plaisir que j’ai redécouvert ce film plusieurs années après. D’ailleurs j’en profite pour remercier mon bro keitaro pour m’avoir prêté les blu-ray de ces films. Allez entrons un peu des les « tripes » de ce film.

Scénario : On suit Cloud qui combat les forces du mal incarnées par les « frères » du héros. Le but ultime de ces antagonistes est de réveiller Séphiroth afin de pouvoir faire réapparaitre Jénovah leur mère. Bref on a un pléthore de personnages qui sont plus ou moins clairs, mais qui bizarrement sont super attachants. Le scénario ne connait pas vraiment de ralentissement. C’est vraiment un enchainement de tableau et d’action savamment orchestré donnant un film au top.

Réalisation : Bon alors là c’est tout bonnement excellent. Les personnages sont superbes, les décors parfaitement exécutés et que dire des scènes d’actions… On a le souffle coupé par la fluidité des combats et par le rythme que ces derniers imposent. Les couleurs utilisées permettent aussi aux spectateurs de changer d’ambiance très facilement. Franchement pour un film qui date de 2005, ça a vraiment bien vieilli.

Jeu d’acteur : Alors personnellement je vous conseille vivement de regarder cet opus en VOSTFR. Pourquoi me demanderez-vous ? Parce que les voix françaises et américaine ne servent carrément pas le film. Par contre avec les voix japonaise c’est un pur bonheur.

Musique : Comment vous dire… Nobuo Uematsu quoi. Là on a à faire à un maître de la musique et la bande son est tout simplement excellente. Et là ça vaut même le coup d’écouter la soundtrack sans le film. Chose que j’ai fait assez régulièrement surtout en version métal.

Voilà mes bons nains c’est tout pour aujourd’hui. J’espère que vous aurez apprécié cette double critique et que vous aurez envie de revoir ces deux films que vous pouvez d’ailleurs trouver à pas trop cher maintenant. Et même si ce n’est pas toujours au top on passe un bon moment. Allez on se retrouve jeudi pour de nouvelles aventures et pour votre séance de courts. En attendant je compte sur vous pour partager l’article sur les réseaux sociaux et pour parler de la taverne autour de vous. On est toujours à la recherche de nouveaux convives dans notre bonne taverne. Et encore une bonne St Valentin.